Du 9 au 15 juillet : 22010 => 22947 Km
On quitte tôt notre bivouac sur les bords du Danube. Aujourd’hui, on reprend nos aventures en direction de la République Tchèque ! On profite une dernière fois des paysages fleuris autrichiens avant d’arriver dans le merveilleux pays où la bière coûte moins chère que l’eau. Heureusement qu’on a le GPS car l’alphabet et les panneaux sont différents. On sent qu’on est dans une autre partie de l’Europe. Après 4 heures de route, on arrive enfin dans la petite ville de Cesky Krumlov. A côté des jardins du château, on trouve une petite place acrobatique mais à l’ombre pour sa sainteté César. Après avoir failli se faire rentrer dedans par un congénère néerlandais, on traverse les jardins avant d’arriver dans la petite ville par le château. Une belle entrée en matière ! Les façades du château sont entièrement peintes. C’est coloré et il y a beaucoup de détails. C’est surprenant ! Du haut des balcons du château, on a une vue incroyable sur la rivière Vltava qui borde en S la vieille ville. Magnifique ! En passant par la porte principale du château, on traverse les douves qui abritent … des ours bruns ! Oui, nous aussi ça nous a choqués ! Malheureusement, ils n’ont pas l’air heureux ici… Ce n’était pas très plaisant de les regarder dans leur fosse. On descend dans la vieille ville et je m’accorde une petite halte à la brasserie locale. C’est la première fois pour moi que j’achète de la bière si peu chère et surtout, dans des bouteilles de 1 litre en plastique. C’est ça l’aventure, sortir de sa zone de confort, prendre des risques. Le sac à dos un peu plus lourd, on longe la rivière et on s’arrête devant un stand qui vendait des gaufres. Mais pas n’importe lesquelles ! Des bubbles waffles ! Si vous avez suivis nos aventures en Irlande, Mimie avait découvert ce type de gaufre à Dublin et ça avait été une extase gourmande pour elle ! Cette fois-ci, on l’a prise avec de la glace vanille, des Twix, des Kit Kat et un nappage caramel et chocolat. On s’est assis au bord des rives de la Vltava pour manger ce bonheur chocolaté. C’était super bon mais pas autant que la version irlandaise. En même temps, la tchèque est aussi bien moins chère. On continue dans les ruelles étroites, de boutiques en boutiques. Un vendeur nous a demandé si nous étions portugais, une première ! On a pu acheter un shooter pour la collection d’Aimie, une boule de Noël de la ville et l’autocollant pour César. On remonte le château pour retrouver notre bébé et nous partons rejoindre notre spot de la nuit. Nous trouvons un beau petit parking au bord de la rivière Vltava pour se tremper les pieds et être bercés par le bruit de l’eau cette nuit.





Ce matin, nous nous réveillons sous un beau et chaud soleil ! A 9h, il fait déjà 25°C dans César ! Au programme aujourd’hui, beaucoup de route pour rejoindre la Moravie. Avec 5000 grottes, c’est la région qui en compte le plus en Europe. C’est après 3h de route dans la campagne Tchèque, entre forêts et châteaux, que nous arrivons sur le site de Macocha. La bonne surprise, c’est que la caissière nous a fait payer le tarif d’une moto pour César (c’est presque pareil en même temps). Puis, nous chaussons nos claquettes et nous partons promener dans la forêt pour rejoindre les Abysses de Macocha. On découvre une immense faille, au milieu des arbres, à nous donner le vertige ! Du dessus, nous voyons une des entrés de la grotte, c’est magnifique ! C’est décidé, demain, nous descendrons dans les entrailles de la terre. Nous retrouvons notre César pour passer la nuit sur ce parking. Malheureusement pour nous, elle ne s’annonce pas de tout repos. L’orage gronde, la pluie commence à tomber et des jeunes sont venu faire des drifts sur le parking à la tombée de la nuit jusqu’à plus de minuit ! Grrrrrr !


Ce matin, il pleut et ce n’est pas prévu de s’arrêter de la journée. Heureusement que notre visite du jour est souterraine ! On court rapidement entre les goûtes pour acheter nos billets et prendre un téléphérique vertigineux qui nous descend à l’entrée de la grotte. Notre visite commence à 11h et les explications sont données en Tchèque… Pas de mauvaises surprises, on avait été prévenus. Faute d’intérêt à écouter, on reste au fond du groupe pour pouvoir faire des belles photos dans les grottes. Le début commence par une balade à pied au milieu des formations géologiques. Les stalactites et les stalagmites sont magnifiques et impressionnantes ! On en voit de toutes les formes, de toutes les tailles. C’est superbe ce que la nature peut faire. Après une descente dans les profondeurs abyssales de Macocha, nous embarquons dans de petites barques pour une balade dans les eaux souterraines. C’était une expérience unique ! Notre guide nous a fait passer sous des arches où nous devions baisser la tête tellement c’était étroit. La barque avait à peine la place de passer ! Avancer sur cette eau claire, limpide et sans un bruit, nous plonge dans un autre monde. Après 1h de visite, on retrouve la lumière du jour mais également les nuages et la pluie. On reprend le téléphérique et on rejoint notre César tout mouillé. On mange un bout en écoutant la pluie tomber et nous reprenons la route, direction, la Pologne ! Nouveau pays, nouvelle culture, nouvelle langue, nouvelle monnaie… On change tout ! Dans la soirée et avec la pluie, nous arrivons à Oświęcim. Cette ville ne vous dit certainement rien, mais elle est malheureusement mondialement connue pour abriter le plus grand camp d’extermination du monde : Auschwitz-Birkenau. On se rend sur place mais tout est déjà fermé. On retourne à l’abri dans César. Nous avons trouvé un petit parking à proximité, en attendant de faire la visite demain.



C’est dimanche, jour de messe ! Les cloches ont sonné à 7h30 du matin et à notre réveil, le parking était plein. On se lève et on se prépare pour aller visiter le camp de Birkenau. Après 20 min de marche et 10 minutes en bus, on arrive à l’entrée du camp. Malheureusement, il n’est pas visitable à ces heures-ci car le site est réservé aux tours guidés (bien que le contraire soit indiqué sur le site). Le garde nous dit d’aller nous enregistrer à Auschwitz I pour faire la visite en fin de journée. On s’exécute et on reprend le bus en direction du premier camp. Ici, un homme du point info nous dit que c’est complet pour aujourd’hui et que la visite gratuite se réserve que sur internet. Grrr ! Après réflexion, on a décidé qu’on fera la visite un autre jour de la semaine. On quitte Oświęcim pour aller faire les services de César et se diriger vers Cracovie. Malheureusement pour nous, la borne de service est juste à côté d’un Mac Do. On est donc obligés d’aller essayer ça, d’autant plus que la facture est deux fois moins chère qu’en France ! L’estomac plein et César aussi, on se trouve un parking au bord d’un lac dans la banlieue de Cracovie. Le parking n’a pas l’air très sûr mais la police passe régulièrement. Ca nous rassure. On se dit que César sera bien surveillé pour les jours à venir. On décide de profiter du temps qui nous reste pour travailler sur l’article et les photos, avant d’aller nous coucher pour une nuit plus ou moins calme.

Aujourd’hui, premier jour de la semaine, on se lève à 7h pour commencer tôt la journée. On prévoit de faire la queue devant le musée d’Oskar Schindler avant l’ouverture, car le lundi c’est gratuit, mais que pour les premiers arrivés ! On saute sur nos vélos et on part pour la deuxième plus grande ville du pays. À 9h30, on est devant le musée où une file d’attente (essentiellement des français) s’est déjà formée. Quand le musée ouvre ses portes, un groupe entre à l’intérieur et une employée referme la porte directement derrière. Après 30min, elle revient et nous explique que pour visiter le musée gratuitement, il faut attendre encore et s’enregistrer pour avoir, peut-être, une entrée dans la journée. C’est beaucoup trop compliqué pour notre itinéraire et notre planning du jour. On reprend nos vélos et nous partons découvrir la magnifique église gothique Saint Joseph. On a ensuite traversé le fleuve Vistule par un pont avec des statues étranges avant arriver dans le quartier juif de Cracovie. Autrefois, c’était le ghetto juif. Maintenant, c’est un quartier animé par bon nombre de restaurants et de bars. On pose les vélos et on continue notre visite à pied. Les différents bâtiments qui nous entourent portent encore les stigmates du ghetto d’avant-guerre. On visite deux belles églises magnifiquement dorées et on passe par l’ancienne synagogue. Le quartier ne nous plait pas énormément, on décide de récupéré nos montures et de prendre la direction du château Wawel. Dans ses remparts se trouve la basilique Saint Stanislas et Venceslas. Cette basilique est indescriptible. Elle a deux clochers qui ne sont pas de la même taille, ni de la même forme, deux toitures différentes et trois dômes également. En gros, c’était un joyeux bazar dont l’ensemble est incroyablement harmonieux ! On redescend ensuite dans le vieux centre, à pied, en passant par les rues piétonnes. Il est midi et nos estomac crient famine. Au détour d’une église, on trouve une mamie (avec moins de dents qu’une fourchette) qui vend des couronnes de pains aux graines pour seulement 2 Zloty (0,45 cts). On a voulu essayer. C’était bon mais très sec. Comme on dit, ça cale une dent. Après ça, on a continué à promener de boutiques en boutiques jusqu’à la place principale de Cracovie : Rynek Główny. On s’installe sur la terrasse d’un petit restaurant, où on a pu se boire des bières locales et déguster des pierogis. Ce sont des ravioles traditionnelles polonaises qui tiennent beaucoup plus au corps que leurs copines italiennes. Les papilles en fêtes et le bidon plein, nous repartons promener. Au beau milieu de la place, il y a le Sukiennice qui veut dire, halle aux draps. C’est un beau monument renaissance où on vendait autrefois toutes sortes de tissus. Maintenant, on y trouve essentiellement des petits stands de souvenirs et de l’ambre sous toutes ses formes. On continue notre balade dans les ruelles de Cracovie pour trouver tous nos souvenirs de voyages : autocollants pour César, shooter pour la collection d’Aimie, magnet pour le frigo, boule de Noël et petit souvenir en ambre (spécialité du pays). Avant de retrouver nos vélos, on passe dans une boutique d’alcool pour acheter quelques bières et surtout de la Vodka ! Avec 1,5 euros les 10cl, la petite bouteille de Vodka a couté moins cher que la bière ! A ce prix-là, on va ramener quelques souvenirs liquides ! Pour finir, on reprend la route pour retrouver notre César qui nous attend sur son parking. Nous sommes fatigués et il n’y a pas de beau spot entre nous et notre prochaine étape. On décide de passer une seconde nuit ici.





Nous sommes le 14 juillet, jour de fête nationale ! Ce matin, on prend le temps de faire une grasse matinée car notre prochaine visite n’est qu’à 12h15. Il fait beau et chaud, ça fait du bien de se sentir en été après 2 jours de grisaille. On quitte notre spot de Cracovie pour rejoindre Wieliczka à 30 min de route. On gare César à l’ombre et on se dirige vers les plus célèbres mine de sel d’Europe. On passe les portiques sanitaires (avec prise de température), on valide nos billets et on rejoint un groupe de français pour débuter la visite. C’est parti pour une descente dans les entrailles de la terre avec un escalier de 371 marches et une arrivée à 65 mètres sous terre. Le début de la visite commence par l’histoire des mines de sel en Pologne et de son exploitation au cours des siècles. On marche dans de longs couloirs qui nous amènent d’une grotte à une autre. A l’intérieur, de nombreuses sculptures taillées dans des roches de sel par les mineurs eux-mêmes y sont exposés. Notre guide nous explique les différentes étapes d’extraction du sel selon les époques. A plus de 100m sous terre, coule un petit ruisseau provenant de l’infiltration des eaux de pluies dans la roche. Cette eau est totalement saturée en sel en contenant 320 grammes par litre ! On l’a gouté et franchement … c’était pas bon ! On continue par la visite d’une chapelle et d’une cathédrale. Hein ? Quoi ? Ils ont fumé des herbes pas fraiches les cocos ! Et bien oui, nous avons visité la cathédrale la plus profonde d’Europe. Et ce qu’on peut vous dire, c’est qu’elle est tout simplement époustouflante de part sa conception, ses sculptures, ses détails et ses immenses lustres en cristaux de sel. Cette cathédrale célèbre encore des messes, des mariages et des baptêmes. Bien évidemment, tout dedans est réalisé à partir des pierres de sel. Les mineurs qui l’ont créée étaient de véritables artistes ! On continue la descente au 3ème niveau en passant par de superbes grottes, très hautes de plafond et soutenues par des structures en bois immense. C’était impressionnant ! La visite se termine par une boutique et un restaurant à 135 mètres sous la surface de la terre. C’était l’occasion de goûter à d’autres spécialités polonaises : une sorte de quenelle en sauce avec des frites pour Mimie et une choucroute sucrée/salée aux pruneaux, navets et saucisses accompagnée d’une bière locale pour moi. Un régal ! Le ventre plein, on se dirige vers le musée de la mine où une autre guide nous a rejoints. Avec elle, on a découvert les outils utilisés par les mineurs, les procédés d’extractions et quelques belles pièces de sel. Une fois la visite terminée, on a utilisé un ascenseur qui nous a remonté à la surface en 10 secondes. On a fait le tour des boutiques à touristes avant de reprendre la route pour Auschwitz. Depuis notre dernier passage, on n’est pas arrivés à accéder au site internet de réservation en ligne pour les camps. Malgré toutes nos tentatives, rien n’y a fait, quelque chose bloque notre accès internet à ce site. On arrive avant la fermeture des camps en espérant que quelqu’un puisse nous trouver une solution. La personne qui s’occupe du point info nous dit qu’il faut réserver sur internet et que si ça ne fonctionne pas, tant pis pour nous. On est choqués de cette réponse ! Sans la technologie, on n’est plus capable de prendre des réservations et d’apporter des solutions aux gens ? Heureusement pour nous, un jeune de la sécurité essaie de comprendre notre problème et de nous venir en aide. Quand il voit qu’en effet notre accès au site internet est bloqué, il accepte de réserver pour nous via son téléphone. Mais ça ne fonctionne pas ! La technologie est contre nous ! Il part alors se changer et nous dit qu’un ami à lui habite pas loin et qu’il aura un meilleur téléphone pour réserver. Après quelques minutes de marche avec notre sauveur polonais, on arrive là-bas, on fait la réservation, mais, impossible d’accéder au lien pour le paiement internet ! On vous jure, c’est la vérité ! Ça en devient risible (enfin après coup) ! Soudain, il me vient une idée ! Oui, je sais, ce n’est pas souvent… J’appelle mon frangin pour qu’il nous réserve les billets en France. Et là, miracle, ça marche ! On est soulagés d’avoir réussi car on ne pouvait pas passer à côté de cette visite. En effet, l’arrière-grand-père d’Aimie est décédé à Auschwitz en 1945 (2 jours avant la libération du camp). Il a été arrêté en France en tant que résistant au troisième Reich. Il n’a jamais été reconnu comme mort dans ce camp à cause de la destruction totale des archives avant la fuite des Nazis. Ce tour d’Auschwitz sera à la fois commémoratif, instructif et un hommage à ce grand papy mort pour la liberté. Avant de pouvoir faire cette visite forte en émotion, notre polonais qui s’appelle Marek, nous invite à aller boire une bière dans le vieux centre. On a passé un super bon moment avec notre nouvel ami local qui nous en a appris plus sur la vie en Pologne. Après cette bonne soirée, on a rejoint notre spot près du camp.






Mercredi 15 juillet, on se réveille tranquillement dans le camping- car. Franchement, avec toutes nos galères pour aller visiter Auschwitz, on angoissait un peu qu’on se retrouve encore confrontés à un problème. Notre visite des camps ne débute qu’à 12h45. On prend le temps de se doucher et de se préparer. On se rend à l’entrée 45 min avant notre visite car il y a beaucoup de monde. Après un passage par les portiques sanitaires où on nous a désinfectés de la tête aux pieds et par les portiques de sécurités, on attrape vite nos audio guides et on arrive juste à temps pour le début de la visite. Nous commençons par le camp principal d’Auschwitz qui est resté exactement comme les nazis l’ont laissé. La porte d’entrée, les blocks, les murs de protection (et d’exécution), les fils barbelés, le matériel… L’ambiance qui règne ici est glaçante. Notre guide nous emmène de blocs en blocs en nous racontant la vie dans le camp. À la libération, l’armée rouge a récupéré toutes les affaires que les nazis n’ont pas eu le temps de détruire ou d’emporter. Dans certains blocks, devenus « musés », sont exposés des tonnes de chaussures (80000 paires), valises, vêtements, lunettes (40 kgs), casseroles ayant appartenues aux déportés. Vision effroyable : une pièce vitrée remplie de 2 tonnes de cheveux de femmes. C’était difficile de maintenir le regard… On passe par le block de la prison et celui de l’infirmerie où étaient faites des expériences médicales sur les déportés. Avant de quitter le camp, nous sommes passés par les fours crématoires. C’est indescriptible la sensation de lourdeur qui s’empare de nous dans ces blocks. La visite d’Auschwitz I se termine. On quitte le camp pour récupérer une navette et rejoindre le camp de Birkenau. Ce camp a été créé 1 an après Auschwitz pour répondre au besoin d’agrandissement. Il mesure 170 hectares. Il a été créé dans un seul but : l’extermination de masse. Il n’y a pas de murs de protection, ce qui nous a permis de nous rendre compte de l’immensité du camp. Notre guide nous fait commencer la visite de Birkenau par le quai de débarquement du train et nous fait prendre le chemin qu’empruntaient les déportés jusqu’aux chambres à gaz. Certaines photos prises à l’époque témoignent du nombre de personnes qui débarquaient chaque jour au camp et dont la plupart n’y ont jamais séjourné. On continue par la visite d’un dortoir de femmes qui témoigne de l’horreur des conditions de « vie » du camp. C’est là que s’est terminée notre visite. Avant de partir, nous essayons d’attirer l’attention du guide pour lui demander où il serait possible d’entreprendre des procédures pour faire reconnaître l’arrière-grand-père d’Aimie décédé ici. Mais ça ne l’intéresse pas et nous renvoie à la réception d’Auschwitz I. Après avoir récupéré la navette, nous retournons à l’accueil qui nous dit que ce sont les archives qui s’en occupent, qu’ils ferment à 15h et qu’on ne peut rencontrer personne à cause du Covid. On sent l’embrouille arriver mais on ne baisse pas les bras et on force un peu pour avoir de l’aide. On reçoit alors un simple formulaire à remplir… Nous retrouvons César pour pouvoir envoyer des mails et préparer le formulaire. On en profite pour faire nos recherches de notre côté étant donné que personne ne semble vouloir nous aider. Et pour la 3ème fois, nous restons dormir sur le parking à côté du camp.




Itinéraire : https://loupsaventures.files.wordpress.com/2020/07/25.jpg
Bonjour vous deux… Oui l’Europe centrale a toujours été de réputation assez froide pour ce qui concerne le caractère des Peuples (bien que j’ai connu la même ambiance et très froide… en Allemagne et particulièrement à Munich, où j’y avais une tante, une soeur à ma maman, et j’étais très surprise de l’ambiance, et cette tante, qui est décédée peu après en 1994, je me suis toujours demandée comment elle avait pu s’y habituer, elle qui était si riante, si joviale, mais elle m’avait dit qu’elle avait souffert de la différence… par rapport à la Sicile… et oui, rien à voir entre les Italiens et les Allemands, deux mondes totalement différents…!!!), les photos et les vues sont magnifiques… ce voyage vous permet de voir autres choses, d’en garder de bons souvenirs…!!!) Gros bisous à vous deux et bonne continuation…!
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